(co) fall in your insanity.

❝ who will bring me flowers when it's over, and who will give me comfort when it's cold don't ever say goodbye ❞
©polyvore

cesairs oswald

VINGT-SIX ANS / CRYPTO-MATHEMATICENNE ET LINGUISTE / SYDNEY
CELIBATAIRE / WHALE / PHOEBE TONKIN
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SUCH A WONDERFUL WORLD
elle tient les surprises en horreur, quelles qu'elles soient. bonnes ou mauvaises. se faire surprendre, avoir le coeur qui fait un raté, ça a de quoi la rendre folle. ~ elle était différente dans sa folle jeunesse: ambitieuse, rebelle, indifférente aux règles, entrepreneuse, provocante et insolente. ~ elle est devenue crypto-mathématicienne tout à fait par hasard, sa prédilection de base étant l'ingénierie biomédical. des rencontres, des avis, des circonstances ont fait que ses roues ont changé de voie. ~ elle parle couramment sept langues: l'anglais, le français, l'espagnol, l'allemand, le mandarin, le portugais et le russe. il lui a toujours été facile d'apprendre une nouvelle langue, ce doit être dans les gènes. ou dans une région de son cerveau. ~ l'amour, le grand amour, ne lui est tombé dessus qu'une fois, alors qu'elle était une toute jeune ingénieure. même la fin tragique de son couple ne l'a pas rendue sénile et sexiste. ~ elle aurait pu avoir un casier judiciaire long comme le bras si la défense intérieure américaine ne l'avait pas réclamée. au jour d'aujourd'hui, elle ignore si la prison à perpétuité n'était pas une meilleure option. ~ elle a quatre frères, de deux et quatre ans ses aînés, et de deux et quatre ans ses cadets. Une régularité surprenante. elle a toujours été la préférée, la petite protégée, la petite merveille. ce qui était bien loin de lui déplaire. ~ elle n'a jamais touchée à la moindre cigarette, en revanche elle peut être très portée sur le scotch lors de soirées nostalgiques.aussi peu féminin cela puisse-t-il être.

PREVIOUSLY ON OCEAN PLACE
tu n'es là que depuis quelques mois, moins d'un an, plus d'une moitié. t'as fais quelques connaissances, mais ton nouveau contrat te suce jusqu'à la moelle, t'empêchant de mener à bien une offensive sociale. puis dans le fond, tu ne t'intéresses pas aux autres habitants. tes problèmes sont bien trop imposants pour que tu aies la patience d'écouter madame un tel se plaindre de monsieur machin. pour sûr que tu souries, tu salues, tu n'en es pas moins polie. quand au gouverneur, tu lui souhaites bonne chance. car peu importe les gens qui cèdent et vendent autour de toi, tu peux lui promettre que tu seras la dernière à lui céder ton petit havre de paix. voir jamais. tu as mis trop de temps à te reconstruire et rentrer à nouveau dans le moule pour laisser ta place. qu'il aille au diable. marissa wildworth vous dites? tu ne la connaissais pas. à peine l'as-tu croisée à une voir deux reprises, mais tu ne t'es pas attardée sur elle. ce sont les journaux qui t'ont apprit son visage et son mode de vie. certes, les meurtres sont moches et condamnables, mais tu n'es pas blanche comme neige pour oser émettre un jugement. c'est la loi de la jungle.

PSEUDO : glorious upp. PRÉNOM : coralie. AGE : vingt-et-un ans. FRÉQUENCE DE CONNEXION : 7j/7. COMMENTAIRES : I love you

TELL ME THAT LIFE IS BEAUTIFUL

wild world.
Tu es radieuse. Le soleil semble émaner de ta propre personne, jamais tu n'as été aussi belle, aussi entière. Tu sers son bras contre toi comme une enfant transie, cales tes pas sur les siens, t'enivres de son odeur qui te poursuit jusque dans tes rêves. Tout est parfait. Ton bonheur est parfait. Depuis qu'il est entré dans ta vie, rien n'a jamais été aussi beau, aussi pur et sincère. Tu parais retrouver ta pudeur d'antan, ton innocence d'enfant. Tu rougis, minaudes, ris à la moindre de ses frasques, le dévores du regard. Ce n'est pas toi, ça. Si, ça l'était. Depuis Corey, ça l'était. Ta facette de femme amoureuse, lorsque tu décides de ne pas la refouler. Tu te laisses aller lorsque vous êtes ensemble, rien que tous les deux. Lorsque tu sais que rien ni personne ne peut venir entraver la bénédiction de votre union, la sainteté de vos sentiments. Il ne t'aime jamais autant que lorsque tu es toi même, lorsque vous pouvez vivre comme un couple banal. Même si vous savez tous les deux que vos positions ne vous permettent pas d'être normaux. A la moindre faiblesse, n'importe quoi peut vous arriver, n'importe qui peut vous embarquer. Vos noms sont présents dans tous les fichiers, de toutes les entités judiciaires et exécutives, de tous les pays européens. Vous changez de pays comme on change de chemise, clandestins le jour, amants la nuit. Tu sais que ça ne pourra pas durer, tu sais que ce bonheur est éphémère. Mais tu sais aussi que tu auras eu la chance de connaître l'amour, le vrai, le grand. Celui que l'on raconte aux petites filles, celui que le monde entier cherche en vain chaque jour. Et même si cet amour a un prix, tu es prête à le prendre. Prête à le prendre car ta vie peut basculer d'un jour à l'autre. Ta sarcoïdose peut t'entraîner subitement, brutalement, sans crier gare. Lâche prise, d'accord? Alors tu t'abandonnes. tu t'abandonnes dans ses bras, dans vos ébats, dans votre amour. Tu t'abandonnes entièrement.

Ton cœur s'emballe, tu ne peux retenir ses battements effrénés. Tu te sens perdue, dans le vague, sans possibilité d'expliquer cette angoisse soudaine. Mais tu le sais, tu le sens au plus profond de tes entrailles, vous ne devez pas le faire. Pas aujourd'hui, pas maintenant, vous n'êtes pas prêt, ou du moins pas autant que les autres fois. L'impatience vous gagne, tu ne peux nier que tu as envie que tout se termine. Mais ce plan là te parait foireux, mortel, destructeur. Tu sens que quelqu'un y laissera sa peau, si ce n'est tous. Tu observes leurs visages, n'y vois nulle trace de quelconque anxiété. Rien qu'une euphorie montante, la couleur de l'adrénaline sur les joues. Tu fermes les yeux, un instant, un court instant, priant en silence. Priant pour votre salut, pour le bien fondé de cette mission, votre mission. Priant pour Corey. Tout va bien, Cece? Tu souris face à ce surnom qui est tien, comme à chaque fois, comme toutes les fois. Tu laisses ses lèvres parcourir ta nuque, les yeux fermés, abandonnée. Pour ses beaux yeux, te te jetterais dans le vide. Pour son sourire, tu vendrais ton âme au diable. Une amourette d'enfants qui avait virée à la passion, dévorante, ardente. Vous vous ne vous êtes jamais quittés, et ton cœur se révolte à l'idée qu'une telle chose puisse être possible. Annule la mission, je t'en supplie. Tes yeux brillent de fatalité, ton corps tremble de tous ses membres. Son visage s'adoucit, il pose sur toi un regard emplit d'amour et de tendresse. De cette même patience avec laquelle on rassure un enfant. On en a déjà parlé. C'est ce soir ou jamais, tu le sais. On s'en tient au plan. Le plan, ce foutu plan. Tu le connais sur le bout des doigts, tu l'as toi même conçu, et pourtant tu n'es plus sûre du tout de son efficacité. Non. Les trois hommes s'en vont, et tu ne peux t'empêcher de leur murmurer un adieu des plus dramatiques. Dans cinq minutes, tout commencera. Dans cinq minutes, peut-être, si dieu le veut, tout le monde s'en sortira sain et sauf. Dans cinq minutes, ta vie basculera. Dans cinq minutes, tu perdras tout. Dans cinq minutes, tu le perdras lui.

falling skies.
L'alarme de la HSBC, banque britannique, premier monopole européen, ne retentira pas cette fois ci. Le chargement se termine à l'instant, toute mesure de sécurité diverse et variée s'envole dans les abysses. Il n'y a plus rien. Plus rien qui ne pourra empêcher Judas, ton complice, de se faufiler jusqu'au coffre fort, chambre étincelante recelant de milles trésors. Ces milles trésors qui ont été injustement confié à cet homme que tu hais plus que tout. Ce politicien à deux livre sterling qui ne mérite pas de fouler cette terre. Il ne mérite rien de plus que la désolation, le déshonneur mais surtout et avant tout, la vérité sur ses trafics. Car tu le traques, cet enfoiré, depuis tant de temps. Tu hackes la moindre technologie, brises la moindre de ses barrières. Et pourtant, tu sais à quel point il est méfiant, prudent et ingénieux. Aucune preuve tangible, tu n'as rien et n'a jamais rien eu sur lui. Et c'est ce qui te mets les nerfs à vif, ce qui te pousses à te surpasser et, malgré toi, laisser tes sentiments prendre le pas sur le professionnel. Tu es trop impliquée, trop sensible, ça te perdra. Tu l'envoies sur les roses, t'as pas envie d'entendre ses sermons. Tu réfléchis, te pourris la vie et te hantes, tu te dois de trouver un moyen de le faire tomber. Tu n'en vois qu'un. Toi.

Cesairs Oswald, vous êtes en état d'arrestation. Vous connaissez vos droits. Ton corps se fige, le temps semble s'arrêter tout autour de toi. Ton visage est de marbre, et pourtant tout s'écroule en toi. Piéger, tu t'es faites piéger. Et comme une débutante, tu n'arrives pas à y croire. Tu n'opposes aucune résistance, laisses cet abruti te blesser les poignets avec ses menottes de forgeron. Le restaurant tout entier est figé à son tour, aux aguets, suivant la scène comme ils regarderaient un policier. Les événements tournent au ralenti tout autour de toi, et pourtant ton visage ne trahi toujours aucun émotion. Tu brides l'animal piégé, enragé au fond de toi et revêt ton masque de l'absence. Celui que tu portes à chaque complication, celui qui est synonyme de profonde réflexion. Ton cerveau tourne à plein régime, tu analyses la situation et celles qui viendront. Tu es dans la merde, et ce jusqu'au cou. Vous ne prenez pas le chemin du commissariat, et tu sais à quel point c'est un mauvais présage. Tu sais que tu vas tout droit dans la gueule des services secrets, ces types qui traquent les criminels. Et tu en es une, malgré tes convictions et ce que tu peux penser. Tu sais que tu vas tout droit dans l'antre béante du gouvernement, et que ta liberté t'est désormais à jamais enlevée. Et dans tout ce bordel, tu trouves encore le moyen de penser à Corey. A cette fin, sa fin, votre fin. Ta gorge se noue tandis que tu te repasses les images dans ta tête. L'absence de nouvelles durant la mission, ton arrivée précipitée en renfort. Ce hurlement qui a jailli de ta gorge lorsque tu as vu les balles, ces mêmes balles de ce putain de même gouvernement, cribler le corps de l'homme que tu aimes de trous sanglant. Cette détresse, cette haine que tu as laissé s'échapper, non, ce n'était pas toi. Ce n'était rien d'autre que la femme transie d'amour que tu préservais, dissimulais. Judas t'a retenue, serré dans ses bras et emmenée loin avant qu'ils ne te descendent à ton tour. Judas t'a soutenue, t'a aidée, aimée, réconfortée du mieux qu'il le pouvait. Mais la brûlure est toujours là, intacte, suintante. Le voile dans ton regard se lève, regard figé sur une personne. Tu refuses de bouger, t'arrêtes net. Ta bouche se tort, tu voudrais parler, hurler, mais aucun son ne s'échappe de tes lèvres. Une larme fuyarde sera ta seule parole, ta seule douleur. Cette silhouette, tu la reconnaîtrais encore mille. Judas. C'est lui, l'apôtre vengeur, celui qui trahi. Jamais il n'avait mieux porté son nom qu'à cet instant précis. Judas. C'est lui qui t'a vendu. Comme une chienne, une moins que rien. Vendue contre sa propre liberté. Il le paiera.

memories kingdom.
Le silence. Un abysse sans fond de bourdonnement et d'échos des battements de ton propre cœur. Tu ignores depuis combien de temps tu es là, patientant, attendant vainement une sentence qui te condamnera. Tu oscilles entre l'indifférence et l'absence. Tu ne connais que trop bien ces murs vides qui t'entourent, et cette grande vitre qui te renvoie ton reflet défait. Tu te sens observée, tu te sais observée. Tu comprends et ressens à présent le chagrin de ces animaux de zoo, cet abandon de tout combat. Ton corps est faible, ton âme en peine. Non pas parce que tu risques la prison à perpétuité, mais parce qu'il a emporté avec lui un bout de ton cœur. Ce bout manquant qui te faisait sentir femme, qui te faisais sentir entière, comblée. Ce misérable morceau du puzzle manquant qui t’enchaîne à ta condition d'humain éphémère, ce misérable morceau absent qui fait s'écrouler la terre entière. Les mains jointes, le regard fixe sur tu ne sais quel point de peinture blanche, tu attends. Encore, et toujours, de cette patience qui est tienne, de cette tolérance qui t'empoisonne. Et ça ne fait pas deux jours qu'on l'a enterré. Dans un recoin de terre du cimetière avoisinant, par là, ils s'en foutent, pour un peu ils le laisseraient telle quel. Pour eux, il n'est rien de plus qu'un tas de chair qui a expiré son dernier souffle, ils en ont vu d'autres. Et en verront d'autres. Mais pour toi, il est bien plus. Il est celui qui su faire renaître la vie dans tes entrailles, celui qui a pu te donner une seconde chance. Il est celui qui aurait pu être le père de tes enfants, celui dont l'éclat de lumière t'aveuglait chaque matin. Il était ton tout, tu étais son rien. Il était ta moitié, ton âme sœur, et toutes ces autres conneries à l'eau de rose. Mais tu ne le réalises que maintenant, maintenant que toute trace de son existence est froide. Un coup d’œil vers la porte obstinément, tu guettes néanmoins le moindre son étouffé d'un pas, le moindre murmure annonciateur du changement. Car ta vie allait changer, du tout au tout. Incontestablement. Ton quotidien allait être bercé par les jacassements de d'autres coupables, les barreaux de ta cellule, les journées qui n'en terminent jamais. Tu t'y es préparée, tu as eu le temps malgré la précipitation des événements. Mais en ton cœur, tu souffres. Souffres de cette suite misérable qui t'attend avec un rictus méprisant, souffres de ta solitude si soudaine. Puis, ton cœur cogne dans ta poitrine. La porte s'ouvre sur les deux enquêteurs qui t'ont cuisinée, menacée, harcelée, lacérée, piétinée. Puis un troisième, qui lui demeure inconnu. Quelques messes basses, des furtifs regards, puis cet homme et toi, perdurant l'un face à l'autre. Vous vous jaugez du regard, vous estimez, vous combattez. Il baisse les armes face à ton obstination, ton sacrifice résolu, ton destin accepté. Le moindre recoin de sa veste embaume l'eau de cologne, sa peau est rasée au millimètre près. Le conflit, le duel, l'opposition. A côté, tu ressembles à un fantôme sorti d'un thriller, avec tes longs cheveux collés au visage et ta peau blafarde. Et pourtant, il te propose ce deal. Simple, concis, bref, rapide. Le gouvernement et la défense intérieure proposent de laver votre ardoise, à une condition. Rejoignez nos rangs. Incongru, inattendu, tu ne peux retenir ce grognement qui chatouille le fond de ta gorge. Grognement qui se transforme en rire tant tu le prends peu au sérieux, ce petit grimlin tiré à quatre épingles empestant le bureaucrate. Tu essuies au coin de l’œil une larme fuyarde, essaies de te concentrer. Je serais forcée de porter votre costume? Ton adversaire s'autorise un sourire, et te tend une feuille. Une simple signature et votre calvaire est terminé. Tu observes la feuille, la sondant, prêt à espérer qu'elle te parle et te conseille sur le meilleur choix à faire. Mais tes pensées vont directement à tes frères, les seuls hommes de ta vie, à leurs ressentis si tu t'obstinais. La raison l'emporte, tu gribouilles, esquisses une signature. Te voilà prisonnière à nouveau.

Bienvenue sur le forum I love you

Bonne chance pour ta fiche (co) fall in your insanity. 2379132480

merci à toi.

Welcome, très choix d'avatar

phoebe est tellement belle, puis elle a des shoots de tarés. (co) fall in your insanity. 972839412

bienvenue. (co) fall in your insanity. 3849792649

adam, que dire de soffer, il est bien trop peu vu à mon goût.
merci.

bonnie, une vraie déesse oui, ça devrait être interdit. merci.

phoebe bienvenue parmi nous

phoebe

julian avec bébé claflin, quel choix magnifique. tu me réserves un petit lien au chaud, dis? merci.

barbie, je ne connaissais pas kristina mais elle est divine. merci jolie.

tonkin

Tu me réserve un lien ? (co) fall in your insanity. 846755661

En tout cas bienvenue et bon courage pour ta fiche !

je ne peux rien refuser à will, donc c'est avec grand plaisir.
merci mon mignon.

Quel choix (co) fall in your insanity. 1858462070

bienvenue parmi nous (co) fall in your insanity. 390073609

scarlett, la plus belle des blondes. merci.

Cesairs Oswald a écrit:: adam, que dire de soffer, il est bien trop peu vu à mon goût.
merci.

bonnie, une vraie déesse oui, ça devrait être interdit. merci.

aaaah je suis d'accord, CPD vient de commencer, puis son perso est un des plus appréciés, j'ai espoir qu'on le voit de plus en plus

Phoebe.

Bienvenue parmi nous. I love you

adam, soffer il va cartonner, c'est obligé. d'ailleurs en parlant de CPD j'ai deux épisodes qui m'attendent.

nora, blake. merci.

Bienvenue

merci.

Cesairs Oswald a écrit:: adam, soffer il va cartonner, c'est obligé. d'ailleurs en parlant de CPD j'ai deux épisodes qui m'attendent.

nora, blake. merci.

Et c'est les deux meilleurs go go go
Je te valide

merci mon mignon.

Cesairs Oswald a écrit:: julian avec bébé claflin, quel choix magnifique. tu me réserves un petit lien au chaud, dis? merci.

oh oui obligé

» † 'Cause we can't fall any further