DEVENIR PARTENAIRES ✰ êtres amis.

Le mensonge. Vérité déformée qui empoisonne la vie, qui détruit tout sur son passage. Propos doucereux, songes bercés d'illusions, espoir semé dans le fond de l'esprit. Un doux murmure glissé dans le creux de l'oreille à même de rendre fou, de changer la vie de plusieurs et même la détruire. Les paroles s'envolent, se déforment, elles se perdent pour ne devenir que des phrases vides de sens ou parfois trop pesantes. Manipulé. Briser. Détruire. Se faire avoir. Se laisser prendre au piège dans des mensonges, des rêves qui n'ont rien de réel ou simplement en faire abstraction, tenter de s'en sortir, tenter de ne pas se perdre dans ce vice qui en change plus d'un, qui en détruit plus d'un. Trop facile de se perdre dans de belles paroles, dans des rêves qui sont impossibles à réaliser. Tellement aisé de se laisser emporter par un beau parleur, un beau menteur. Le mensonge. Il se glisse dans les veines. Comme un poison. La destruction est lente. On finit par se briser en petits morceaux, en minuscule éclat de verre. Menteur. Arnaqueur. Destructeur. Beau parleur. Profiteur. Qui êtes-vous? Bienvenue à Phoenix.

La nouvelle génération est de plus en plus motivé pour les études et sont incroyablement intelligents et calmes. Non je rigole, bien sûr ! Ses jeunes d'aujourd'hui sont beaucoup plus doué pour ce qui est de transgresser les règles et de faire de nouvelles expériences. Et tout cela n'est pas une question de fréquentation ou d'influence, c'est plutôt une question de curiosité : Jusqu'où pouvons-nous pousser nos limites ? Et en soirée, ses jeunes sont de vrais aspirateurs. Ils engorgent un peu plus de deux litres d'alcool par minutes, ils se tapent le plus grand nombre de nanas dans la soirée, ils font péter les watts à en détruire les maisons qui sont aux alentours. Il n'y a pas de limite à la connerie. Même les parents sont incapables de calmer la nouvelle génération et, souvent, les parents essayent de donner des limites à leurs progénitures mais, ce qu'ils n'ont pas compris, c'est que quand il y a des limites, les jeunes ont toujours envie de les repousser.Grâce aux portables, aux réseaux sociaux, on peut vite inviter des centaines de personnes à venir dans une soirée. Et bien que Honolulu soit une ville tranquille, les jeunes adorent faire disparaitre cette tranquillité pour la changer en enfer complet. C'est souvent quand l’enfer commence que certaines personnes aiment filmer, prendre des photos assez dérangeantes et intime des jeunes pour les faire sur le journal du lycée pour sur leur site. Pas mal pour les mettre mal à l'aise ! Maintenant, qui sera le plus populaire ?

Dans la ville de Twin Cover, en Géorgie, les hivers sont rudes, les étés sont chauds, cette petite ville charmante et fleurie est le fruit de la cohabitation de ses habitants. En passant sur la Main Street, nous retrouvons le Hot Coffee ouvert tous les jours, 24h sur 24h, ainsi que les nombreuses petites boutiques qui sont pour la plupart très appréciées. Vous pouvez rejoindre le petit parc où est implanté une grande fontaine ancienne et appréciable lorsque le soleil se lève. Vous avez envie de rejoindre ce petit lieu paradisiaque où tout semble paisible... Mais n'en soyez pas si certain, la police enquête sur de mystérieuses disparitions, des cadavres retrouvés souvent en pleine forêt ou à l'entrée de la ville. Le dernier article du Twin Cover Times avait pour titre : L'enfer a frappé à la porte de Twin Cover. Cet intitulé résume plutôt bien l'état des choses, car des vampires assoiffés de sang ont commencé à surgir de l'ombre, mettant en péril la vie des humains. Mais un danger en entraîne très souvent un autre... Les loups-garous semblent eux-aussi montrer leurs crocs.

La vie. Qu’est-ce que la vie ? Les intellectuels au fil du temps se sont souvent penchés dessus, triturant leurs pauvres neurones. Pour rien. La vie prend différentes couleurs et se confronte toujours à l’éventail des possibles. Tantôt grise, trop morne, tantôt rose, trop pimpante. Tantôt noire – la vie nous fait porter des signes distinctifs. Les individus se débattent contre le quotidien pour flirter avec la norme, ne se rendant certainement pas compte des failles alentours. Pourquoi ? A quoi bon ? Des questions qui se bousculent et qui, ne trouvent pour la plupart pas de réponse.

A Christchurch, en Nouvelle Zélande, la vie suit son cour. Au jour le jour, arborant des teintes, embrassant les humeurs. S’appuyant toujours sur l’éclectisme, différentes valeurs, différents sentiments et s’éprenant presque toujours de l’amour. L’amour un gros mot, un grand mot. On le retrouve à chaque coin de rue, à la terrasse des cafés, gazouillant dans les parcs, florissant en intérieur. A lui s’ajoute la discorde, l’incompréhension.

Julian  B. , 35 ans, marié, pauvre bougre, se noie dans ses problèmes de couple et s’imagine voguer vers un ailleurs plus palpitant. Quelle aurait été sa vie : s’il n’avait pas rencontré Daisy ? S’il n’avait pas emménagé dans l’appartement d’à côté ? Pas obtenu son diplôme ? Pas quitté Washington pour ce coin de Nouvelle Zélande ? L’éventail des possibles qu’on dit ? La plupart sont loin de se douter qu’en parallèle – Christchurch, dévastée par un séisme de forte magnitude, accueille leurs « doubles » mais dotés d’une vie complètement différente. Julian B. y est Julian B. 35 ans, célibataire, fêtard, chômeur, malade. Vos personnages ont aussi le droit à leur double vie. Leur vie Alternative.

LAS VEGAS 2014; Pourquoi aie-je laissé mes paroles s'évaporer, moi qui étais si certain de pouvoir tenir le coup devant tous les pêchers imaginables ? Peut-être qu'au final, c'est vrai ce que l'on dit de cette ville. Elle change vraiment les gens qui la visitent. Et vous, pourquoi êtes-vous resté ?

Bienvenue à tous, chers étudiants, professeurs, personnel d'Harvard.

Je suis ravi cette année encore d'accueillir de nouveaux étudiants, mais aussi de revoir d'anciens visages, bien que certains d'entre eux aient pris leur envol vers le monde professionnel. Harvard est une université, mais voyez vous, il s'agit avant tout d'une communauté, ou règne avant tout une certaine harmonie, un équilibre. Je suis fier de pouvoir clamer qu'une fois encore, le Times Higher Education a statufié que l'université la plus réputée pour l'année 2012/2013 est notre belle université qu'est Harvard... Et ce malgré le drame qui a frappé à nos portes ce 17 janvier 2013, lors de l'attentat qui a frappé nos bâtiments, en détruisant une partie, nous arrachant certains de nos proches... Mais je suis confiant, nous nous relevons plus forts ... Et non pas seuls, mais accompagnés.

En effet, je profite de ce discours pour annoncer qu'au cours de cette nouvelle année scolaire 2013 - 2014, des échanges auront lieu avec une de nos universités amies ; j'ai nommé la Yale University, située à New Haven, mais je me doute que vous la connaissez déjà tous. Des rencontres amicales, et des compétitions de tous genres seront organisées, et ce dans le but principal de collecter des fonds pour aider à la reconstruction des bâtiments décimés par la bombe. Pour cela, je remercie immensément nos collègues de Yale pour leur soutien.

Au cours de l'année, des inscriptions seront ouvertes, restez à l'affut si vous êtes intéressés! En attendant, je vous souhaite à tous une agréable année à Harvard, en espérant que cette année encore, nous brillerons de par notre excellence et cette harmonie qui m'est si chère.

Merci,

Le Doyen.

MILLENNIAL KIDS " I am a Millennial. Generation Y. Né entre le SIDA et le 11 septembre 2001, à prendre ou à laisser. Ils nous appellent "La Génération Mondiale". Nous sommes connus pour notre droiture et notre narcissisme. Parce qu'il paraît qu'on est la première génération où chaque enfant gagne un trophée juste pour être né et aussi parce que les réseaux sociaux nous permettent de poster dès qu'on pète ou qu'on prend un sandwich pour que tout le monde puisse le voir. Mais ce qui semble le mieux nous définir c'est une insensibilité au monde, une indifférence à la souffrance. Sexe, drogues, alcool. Rien que pour éradiquer la douleur. " SAN DIEGO. Etats-Unis. Il paraît que c'était mieux avant (dixit nos chers et tendres parents), mais bon, puisqu'on est là... Autant en profiter non? ( le contexte )

La faim, la soif, la maladie, la nature, les morts-vivants, les êtres humains... Tant de façon de mourir, si peu de vivre. Trois ans qu'ils s'y confrontent, les survivants. Ils ont oublié ce qu'était un repas, le confort, la sécurité, l'argent. Respirer est leur seul objectif, continuer d'avancer, survivre. L'espoir, ils l'inventent pour se donner du courage, parce qu'ils n'ont rien d'autre, parce qu'il ne semble pas y avoir de fin. Les jours s'effritent et chaque lendemain est plus hostile, plus douloureux. Certains s'assemblent, se divisent, se détruisent. Il n'y a plus de règle, il n'y a plus de loi. Vivre ou mourir. Et pour vivre, ils le savent, ils devront faire l'impensable, ce qu'ils n'auraient jamais fait... Ils ont peur, ils ont la rage, le souvenir des visages ensanglantés de ceux qu'ils ont aimé... C'est ce qui les garde en vie, éveillés, forts, là où ils voudraient s’effondrer. Et quand ils sont plongés dans le noir, le ventre creux, à guetter chaque craquement de branche, à paniquer au son de leur propre souffle, ils se demandent, pourquoi. Qu'ont-ils fait de si mal ?

Pour avoir une famille parfaite, il n’y a aucune recettes. Dear Mom vous l’assure avec une grande allure mais cependant vous trouverez la recette du bonheur. Pour les ingrédients ? Armez-vous de patience, d’amour, de sourire, de vies mais surtout de vos proches. Ils sont la clé de beaucoup de choses. Une ancre. Si vous n’en avez pas ? Trouvez-en. Construisez votre famille et ainsi votre vie. La clé du bonheur est abordable à tous. C’est sûrement l’achat le moins cher et le plus utile de tous les êtres humains. La famille y contribue.

Son regard se déposait sur le corps inerte. « Je n'ai jamais vu une chose pareille en quinze ans de carrière. Je dirais que l'heure du décès remonte à six heures environs. S'il y a quelque chose que je peux affirmer c'est que ce n'était pas un accident. Non, celui ou celle qui a fait cela voulait faire souffrir cet individu. » Ses yeux s'étaient écarquillés alors que la vision de cette acte de cruauté pure lui déchirait le cœur. Il était difficile de déterminer si la chose allongée sur le métal froid était un être humain ou un animal. Que vous soyez misérable ou heureux, cela ne vous empêche pas de ne pas désirer mourir. La fragilité de la vie plane au dessus de vos têtes. Et non, vous ne souhaitez mourir que selon vos propres termes. Seulement, parfois, le destin en décide autrement. Parfois, le karma, le destin ou encore l'univers prennent un malin plaisir à se jouer de vous.