Aaron « Il y a des matins comme ça ou il est déjà 16h00. »

❝ VIE TA VIE AU JOUR LE JOUR ❞
©fcktomlinsons


Aaron Perkins

23 ans / Modèle photo et fils de riche / Hawaï
Célibataire /Whale / Zain Malik
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SUCH A WONDERFUL WORLD

Un "tic" nerveux ? Je passe ma main dans mes cheveux dès que je me sens nerveux. Un tatouage ? Oui une tête de lion sur le haut de mon bras droit. Un piercing ? Oui, à l'arcade. Une maladie mentale ou physique chronique ? Si être complètement frappa dingue et une maladie alors oui, c'est le cas, je ne suis pas net. Sinon pour mon caractère je suis franc, accessible, ambitieux, énergique et enthousiaste. Mais également Impulsif, bavard, critique, désordonné et rêveur.

PREVIOUSLY ON OCEAN PLACE

La mort de la belle Marissa Wildworth, surnom que je lui avais donnée l’ayant croisée plusieurs fois en sortant ou en rentrant chez moi, ne fit que renforcer ce que je pense de tout ça. Je trouve que cette guerre est archi débile. Chacun fait comme bon lui semble, ont devra de toutes les manières à un moment donnée, suivre le mouvement et c’est ce que je fais depuis le début. Je ne dis pas aux gens que je suis pour, ni contre car en réalité ça ne me change pas grand chose. Au pire se serait dommage, mais je déménagerais. Avec l’argent que j’ai déjà je trouverais facilement un autre endroit où loger, en même temps j’aime bien mon loft, je m’y sens chez moi. Pff bref vous avez compris je suis une de ses personnes qui ne sais pas du tout ce qu’il a envie de faire de cette histoire.

TELL ME THAT LIFE IS BEAUTIFUL

Mon enfance ? Pourquoi parler de mon enfance ? Il n'y a rien à dire dessus. Elle était des plus banales. Un gosse de riche sans problèmes, élevé normalement par des parents dignes de ce nom, dans une grande villa. Non, vraiment, je n'ai pas à me plaindre de ce côté-là. Toujours choyé et adoré, j'avais le profil  type du petit garçon modèle. Celui que tout le monde adore. Le profil, seulement. Oui, j'étais plutôt friand de conneries et mon cousin et moi, dès qu'on se retrouvait ensemble, vu qu'on avait le même âge, on en faisait des belles. Puis y a mon petit frère qui est arrivé. Floyd qu'il s'appelle. Au début je ne l’appréciais pas vraiment, j'avais l'impression qu'il allait prendre ma place. Puis j'ai appris à le connaître, autant que l'on peut connaître un enfant de bas âge. A partir du jour où j'ai capté que je pourrais devenir son modèle, que je pourrais l'aider à avancer dans ce monde hostile. A partir de ce moment-là, j'ai commencé à être un bon frère. Mais en-dehors de ça, pas de rebondissements palpitants. Sauf la fois où j'ai teint le chien de ma voisine en rose... Ou la fois où j'ai marqué "j'ai de la barbe mais je me rase" sur le front de ma grande tante Marie-Thérèse pendant qu'elle dormait... Et puis y a aussi cette autre fois-là, où... Ouais, bref, vous avez compris.

C'est à l'adolescence que ça devient plus intéressant. Enfin, y a plus de choses à raconter quoi. Déjà, c'est une période où j'ai été plutôt heureux. Dans l'ensemble. Parce que bien sûr, comme tout le monde, j'ai connu des hauts et des bas, des déceptions amoureuses, des trahisons, des sales notes... Mais j'avais toujours ma petite bande d'amis pour me supporter. Vous savez, j'étais le genre à dire vingt conneries à la minute, juste pour faire rire la classe. Le mec qui drague sans relâche et qui n'a pas peur de se prendre un râteau parce qu'en fin de compte , il fait ça uniquement pour s'amuser. J'étais le gars que tout le monde aime en fin de compte. Qui est plein de vie, plein d'humour, plein d'humanité. J'étais bon en classe, pas le premier mais j'avais un niveau plus que satisfaisant. Je sortais aussi, j'allais faire la fête. Et bientôt je devenais un coureur de jupons professionnel. Pareil pour les études supérieures. J'avais une fille différente chaque soir, pourtant je n'étais pas plus heureux. Vu que je n'y connaissais rien à l'amour. La seule fille que je n’ai jamais aimée ne me voyait pas. J'étais invisible pour elle. Et justement, je crois que c'est ça qui m'a attiré chez elle au premier abord. Marie-Éloïse. Une française. Jolie comme un cœur, mais bien trop torturée. Elle n’était pas heureuse, sortait avec un mec qui la détruisait chaque jour un peu plus. Elle préférait fumer la vie avec lui plutôt que d'en profiter avec moi. De toute façon, elle ne voyait rien. Elle était aveugle au reste du monde. Elle s'en fichait. Mais mon dieu qu'elle me rendait dingue. Puis j'ai appris à tourner la page. A oublier moi aussi Marie-Éloïse. Et j'ai passé mes concours. Au jour d'aujourd'hui je suis un fils de riche qui s’assume et je fais pour m’amuser modèle photo.